La mise en pratique du secret de la relique.

Lundi 28 Janvier, 2010.

La mise en pratique du secret de la relique.

Mardi 22 Décembre, 1689.

C'est impossible, cela ne peut pas être possible! C'est absurde, répugnant...Comment peut-on faire une chose pareil?! Comment peut-on...tuer un Vampire?!
Horrifié, par cette chose qui me semblait si irrationnel, je marchais, trébuchant dans la neige glacé, une plaque d'un poid conséquent, mais rien du tout pour moi, était enfoui derrière mon long manteau noir, plaqué contre mon torse..De cette même plaque de pierre, on aurait dit qu'un pouvoir invisible venait et traverser mon corps pour y vagabondé et déposer son horrible marque, dans mon coeur et dans ma tête, pour que la douleur en soit un peu plus puissante, un peu plus cruel. Mais rien que lire ce qu'il y avait sur cette relique m'avait suffit à en être troublé..Alors je continuaisd'avancer, faisant confiance à mon instinct d'Ultime. Depuis toutes ces années...depuis toutes ces attaques de Vampire Sang-Pur, j'ai atteint un nombre incroyable de pouvoir. Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux. Avec qui je veux. Je peux même...tuer un Vampire. "Non, bien sûr que non! Je ne peux pas!" tel furent mes pensées. Et pourtant, j'en étais capable, j'étais capable de tuer un Vampire, de décapiter un corp de Vampire et de faire ce qu'il y avait écrit dans la relique, et alors le misérable corps de la créature de la Nuit ne cicatrisera plus. Mort. Voilà ce qu'il serait. Et c'était justement ce que j'allais prouver, et pour cela, il me fallait un Vampire Noble digne de ce nom, un vampire pour lequel ma haine ne cessait de s'accroître plus je pensais à lui. Le regard vide, les mains plaqués à mon ventre, je me forcé à ne pas y pensé. Car sinon sa mort n'en serait que plus terrible. Et je trébuchais, une nouvelle fois, je tombais, et mon visage se plaquait contre la neige sensé être glacé. Et je soupirais, je voulais connaître la froideur de la neige et de l'hiver..Mais je sentais la neige contre mon visage et sa froideur aussi, mais un peu, rien qu'un peu..Tout ce que je peux ressentir sur ma peau, c'est la chaleur du Soleil.
Alors de tes rayons si puissant, réchauffe mon coeur glacé et fait moi oublié ce mélange de colère et de peur qui s'est imprégné de moi...
Au loin, je pouvais apercevoir un village, un vieux village avec, un peu plus loin, un immense château...Mon château, mon manoir, mon village...Un village qui pourtant ne mettais pas familier, ni le château ne l'était pas et j'eus du mal à les reconnaître..Mais une voix en moi me disait que c'était ici, qu'il fallait que je m'arrête ici. Arriver devant le château, j'ai stoppais mes pas. Les seuls souvenirs, que je retiens d'ici sont les beaux visage blanc comme la neige déformé par la peur. Et aussi, le jour où je me suis enfui d'ici. Le Soleil avait tellement brûler ma peau qu'il avait réussi à m'arracher un cri de douleur. Mes parents m'avaient prévenus, mais je ne pouvais pas rester ici une seconde de plus. Alors j'ai tué, je ne sais comment c'est arriver, je ne savais pas ce que je voulais de ces pauvres bêtes...Mais émanait d'elles une odeur si exquise que mon corps s'était mit à avancé tout seul. Et c'est seulement après 15 ans de souffrance que je découvrit d'où provenait réellement la boisson qu'on me donnait pour me nourrir.
J'y étais presque, quelques pas de plus et j'ouvrait l'immense porte d'entrée du manoir. J'entrait, et mes pas ne cessait de retentir jusqu'à ce qu'une femme vienne m'acceullir. Elle était belle, extrêmement belle, d'une beauté qui tenait de l'irréalité...Elle avait de long cheveux noir, ondulés, des yeux d'un bleus profond, des lèvres pulpeuses, rosés, et un visage parfait, blafard, avec des traits fins et doux comme jamais personne n'en a vu...Elle portait une magnifique robe de velour, d'un rouge profond, - coupé par un très célèbre couturier italien - accompagné d'un corset de la même couleur que la robe orné de broderie en or. Mère...vous êtes toujours aussi resplendissante, pensais-je.
Et comme je m'y attendait, Mère fit un pas en arrière, et porta sa main à sa bouche, horrifié, terroriser, écoeuré...Elle finit par laché un cri d'effroi. Dans ses pensés, on pouvait lire.." Mais que fait-il ici?! Que fait cet enfant ici?! Que Dieu nous garde..."
Et je vis tout de suite mon père, d'une beauté tout aussi troublante. J'était le reflet de mon père, physiquement, pas mentalement. Ses cheveux était toujours aussi noir et sa coupe toujours aussi étrange, sa peau aussi blanche que la mienne et les mêmes lèvres...La seule qu'on n'a jamais eu en commun physiquement, ce sont nos yeux. Mes yeux sont doré, et les siens sont aussi bleus que ma mère..Je m'étais incliné, légèrement, et machinalement, ils firent de même. Puis je leur avaient tourné le dos et une voix qui venait de nulpart se fit entendre dans la tête de mon père. " Suis moi " avait-elle dit. Et mon père me suivit
On arrivèrent dans la forêt, le soleil n'allait pas tardé à se levé, il fallait faire vite. Vite et bien. Ma mère sembla comprendre mes intentions, et on l'entendit hurlé, encore et encore, jusqu'à ce que tout s'arrête. Je l'avais paralysé et elle ne pouvait plus prononcé aucune parole. Mon père voulut la rejoindre, mais ma voix claire et douce, cependant denué de toute émotion se fit entendre.

- Ne vous inquietez point, Père. Je ne lui ferais aucun mal, pas maintenant, dis-je esquissant un sourire diabolique.

Et les yeux de mon père était soudain emplie de colère...Une colère abominable, ses sourcils était froncé et il montrait ses crocs. Je n'eus pas peur, je n'ai jamais eus peur de mon père. Contrairement à lui qui, malgré ses gestes ridicule, au fond, tout son être tremblé de peur et de rage. Une rage provoqué par sa propre frayeur.

- Kurushima...Comment ose-tu?!

Et sa main vint se placé au dessus de lui, mais elle retomba. Il savait que s'en prendre à son fils n'en résulterait à rien, sauf à se blesser sois même. Et alors je me mis à rire, à rire tellement fort que les oiseaux dans les arbres prirent leurs envole. Et quelques secondes après, un silence de mort s'abbatit sur la forêt..Et mon visage reprit son expression de d'habitude. Je m'étais appuyé contre un arbre et j'avais croisé les bras, tout en regardant de haut mon propre père. Mon attitude méprisante lui fit craché de vilain jurons. Il voulut parlé, mais ce stoppa dans son élan. Je venais de déraciner au moin 100 arbres de la forêt, des racines jaillirent du sol et prirent le Sang-Pur par les bras, enroulant ses jambes...

- Il me semble que votre heure à sonner. Ou peut être que non...Mais si ce que j'essaye de prouver ne marche pas, allez vous vous vengez? Père? Qu'allez vous me faire? En sachant que vos pouvoirs ne vous serons d'aucune utilité..

Un frisson parcouru l'homme et il me fixa, horrifié. "Votre heure à sonner" qui d'autre à part moi aurait pu dire cela à son propre père? Mais après toute cette haine lorsque j'étais enfant...Tout ces moments passé à souffrir dans le noir! Ils ne m'ont jamais aimé, personne ne m'a jamais aimé...Ils avaient peur et aujourd'hui ils paient pour toute ces années de souffrance.

- Tu es le diable en personne! Dieu...

Soudain, ma respiration s'étais accélérer, et je poussais des grognements terrible. Mon père ne put terminé sa phrase, car il fut prit d'un nouveau frisson d'effroi.

- Taisez vous ! Taisez vous ! Taisez vous donc! Qui est le diable ici? Dîtes moi! Qui m'a créer? Qui m'a mit au monde? Qui m'a haïs pendant toutes ces années!!

Et ma main transpersa sa poitrine et atteignit son coeur, que j'avais arraché d'une tel violence que le sang jaillit à plusieurs mètres de là. Ma mère s'était mit à hurlé, plus rien ne l'en empêché à présent.
Le coeur devient liquide, et je bu, le coeur de ma mère que j'avais arraché grâce à mes pouvoirs aussi.
Et j'étais tombé sur les genoux. Horrifié de mon geste, j'essayait de recraché se que je venait d'ingurgité.
Amour, amour, amour...voilà ce que renfermé le coeur de ces deux personnes.
Je prit les corps, et durant une année entière, je suis resté là. A attendre que leur corps cicatrise. Mais même avec mes propres pouvoirs, les corps ne cicatrisaient plus, ils étaient morts. Morts, deux puissant Sang-Pur, parents de l'Ultime, MORTS!

» A la recherche de nouvelle relique..[AKEMI TAKUYA]
» Aoki Sanae ~ You'll see through my secret ? [END]