Un peu de compagnie...[ Shinjô Takeru ]

La lune fait à présent son apparition. Les créatures de la nuit se lèvent...Quelques uns sont déjà debout depuis un bon moment déjà. Comme de le Directeur, qui voulait profiter des derniers instants du Soleil éclatant.
Kurushima aime le Soleil, il aime lorsque ses rayons atteignent sa peau et le réchauffe. Rien qu'un peu, car il est insensible à la chaleur...Son corp est glacée, gêlé, dans son coeur et dans les profondeurs de son âme, une âme inexistente car comme tout vampire, Kurushima est destiné à errer dans ce monde. Mais qu'est-ce qu'une vie sans souffrance? Qu'est-ce qu'une vie sans obstacles ? Et bien c'est la mort, voilà pourquoi Tôji n'a pas d'âme. Son âme n'est plus depuis longtemps...Les jours passent mais l'ennui reste le même.
l'Ultime reste en vie. Ne croyez pas que devant cette couche de glace, il n'y est même pas une once de gentillesse. Car oui, Kurushima est cruel et il aime voir les gens agoniser, se débattre sans relâche pour au final, se blessé sois même. Mais s'il reste en vie, ce n'est que pour proteger sa race d'un terrible secret...pour proteger ses chers élèves et son fidèle vampire Shinjô Takeru...C'est pour cela que dans cette école, la cruauté est respecté.

Kurushima ouvrit les fenêtres, l'air extrêmement froid s'y engouffra...Il inspira profondemment et contempla la Lune avec amour. Finalement, la fraîcheur et la clarté de la Lune est beaucoup plus réconfortante que la chaleur et la lumière du Soleil...
Il partit s'asseoir dans son fauteuil favori, et il attendit. Une domestique entra. L'Academy Hakubo possède beaucoup de domestique. Il y a même des élèves qui ont des majordomes.
Elle s'inclina autant qu'elle le pu et une petite voix se fit entendre.

- Voulez-vous du thé, Tôji-sama?

Du thé? Qu'elle bétise...n'avait-elle pas meilleures choses à proposer? La pauvre était nouvelle, personne ne lui avait expliqué qu'il ne buvait pas le thé...Mais c'était tant pis, il fallait se renseigné avant de dire de tel absurdité.
Tôji lui proposa de venir près de lui. Elle s'approcha, craintive, d'un pas mal assuré et toujours la tête baissé.
Kurushima tendit sa main et prit celle de la femme, elle tomba sur ses genoux. Sa main passa sur son épaule et il serra, fort...tellement fort...on entendit un os se brisé. La malheureuse ne pu retenir un cri, un cri strident emplie de douleur...Tôji se mit à rire, haut et fort. Il dégagea les cheveux de la demoiselle en douceur, caressa son cou du bout de son nez et fini par y planté ses crocs. La jeune fille fut prise de violent soubresauts et se mit a cracher du sang, l'autre main de Tôji vint se plaqué contre sa bouche. Après l'avoir vidé de son sang, il jeta le corp par terre comme si elle n'avait jamais existé, comme si c'était une vulgaire poupée...
Une autre domestique entra. Tôji l'entendit suffoqué, voyant le corp de son amie gisant par terre...

- T...Tôji-sama, vous avez de la visite.
- Qui est-ce donc ? Dit-il de sa voix suave.
- Shinjô Takeru-sama.

Elle s'inclina et partit le plus vite possible. Kurushima se mit à lecher ses doigts plein de sang. Il passa sa langue sur sa lèvre supérieur et soupira, ravi. Succulant dîner, mais encore une fois pas assez...
Il fit signe à la personne d'entrée. Shinjô Takeru, son petit protegé. Tôji esquissa un sourire, il voulait de la visite, mais ne savait pas que ses désires allé être aussi vite réaliser.
Shinjô jeta un coup d'oeil nonchalent sur le corp, sûrement pas impréssionné, ce n'était qu'une domestique et Kurushima avait l'habitude.

- Shinjô, mon petit, comment va-tu aujourd'hui?

Tôji le regarda droit dans les yeux. Shinjô avait sûrement faim lui aussi. Il se leva alors, et prit une boîte posé sur son bureau, et revint s'asseoir. Il ouvrit la boîte. Elle contenait des sortes de petites boules d'un rouge profond, presque noir. Il jeta un regard vers son ami et dit :

- Les meilleurs du marché, tu en veux? Du sang humain, tu aime le sang humain n'est-ce pas?

Kurushima en mit une dans sa bouche. C'était bon, mais rien de plus que des petits amuse gueule...
La vue de la femme à terre l'enerva, il la fit eclaté en poussière dorée, qui elle même disparut.
Un chat entra de la fenêtre grande ouverte, et vint se placé sur les genoux du Maître, qui le caressa avec douceur.

- Assied toi je t'en prie, ne reste pas ainsi debout, dit-il en souriant.

Sur le toit de l’école, Takeru regardait le soleil se coucher, une fois de plus, pour laisser apparaitre la déesse de sa nuit. Le vampire ne savait vraiment pourquoi mais au moins 3 fois par semaine, il aimait se rendre en ce lieu pour admirer le spectacle s’offrant à ses yeux. Pourtant, il détestait autant le soleil que les vampires à sang pur qui avait attaqué sa bien aimée. Peut-être aimait-il le coucher de l’étoile de feu que dans l’unique sens de la voir mourir, s’éteindre, et faisant place à la planète argenté ? Oui, cela ne pouvait qu’être identifié de cette façon. La nature faisait si mal les choses.

Takeru soupira d’ennui. Aujourd’hui, il n’avait pas emporté sa guitare avec lui, désirant rendre visite à son Master, Tôji Kurushima. Lui aussi était un sang pur, mais, parmi tout les vampires au sang royal de ce monde sinistre, Kurushima était le seul vampire au sang pur que Takeru admirait, aimait. Il lui vouait une totale confiance en lui, à un sang pur. Mais Tôji n’était pas n’importe quel vampire, non, il était l’unique et il avait prit sous son aile, un vampire banal du nom de Shinjô Takeru. Il l’avait élevé, comme son propre fils et c’était pour cela que le Chosen One l’appréciait, le considérait comme son père. Le vampire était le seul à ne pas craindre l’Unique, le seul à lui rétorqué se qu’il lui pensait, car en l’élevant, le directeur lui transmit sa froideur, son indifférence, son caractère, que Takeru avait lui-même ainsi forger à sa personne, le rendant néanmoins différent de son Master. Kurushima et le Chosen One étaient les deux vampires les plus crains de l’école de la lune. Certains disait même, que Takeru succèderait au directeur grâce à la confiance et l’attention que lui portait se dernier. Le garçon souriait en entendant cela. Certes il était proche du directeur, mais celui-ci ne lui avait jamais fait part de sa succession. Alors il en déduisait, que son Master se gardait bien de se genre de chose ne les dévoilant à son « fils ».

Takeru leva la tête vers le ciel, les étoiles avait prit place autour de la Mère de la nuit. Le vampire ferma les yeux. Les rayons argentés de sa déesse se posait sur sa peau sans saveur. Takeru regrettait certaines fois de ne plus connaitre la saveur des aliments, la sensation de la caresse du vent sur son corps si froid. De plus, il ne connaissait même pas son véritable Master, celui qui avait eut l’audace de le transformer, de le séparer de sa famille et de l’abandonné. Le Chosen One aurait au moins aimé pour quelle raison il avait été choisi, mais il ne connaissait encore la vérité. Néanmoins, sa vie humaine ne lui manquait pas, étant bien trop à l’aise près des siens, ceux qui lui correspondaient le mieux, les créatures sanguinaires de la nuit. Trouvera t-il seulement la personne qui l’avait fait basculé entre la vie et la mort ? Takeru l’espérait, car ce lien qui les liait, il n’était pas là par hasard. Non. Son Maitre cherchait à ce que le Chosen One vienne à sa rencontre, qu’il le découvre.

Le vampire rouvrit les yeux. La nuit avait envahi le monde. Il se leva ensuite, pensant que le moment était le meilleur pour rejoindre la personne qu’il voulait voir. De sa démarche ample et authentique, le Chosen One descendit les escaliers et s’aventura dans les couloirs de l’aile centrale. Interdite aux élèves vampire autres que les Chosen Ones et le directeur en personne. Le seul endroit où Takeru aimerait trouver des vampires fouineurs croisé son chemin, était dans cette aile. Dans quel but ? Aussi cruel qu’il soit, le vampire aimait seulement faire souffrir ceux qui ne respectaient pas les règles, les torturants jusqu'à que leur cris devienne compréhension et qu’ils ne s’opposent plus aux lois, ainsi qu’à lui. Cruel mais tellement amusant. Takeru passa devant la salle des punitions. En ce moment, il ne s’y trouvait aucun vampire. Cependant, après sa visite chez Kurushima, le vampire se demandait s’il n’allait pas partir à la recherche d’un délinquant afin de se distraire quelques peu. Le faisant hurler jusqu'à que ses cordes vocales se brisent et que son corps de soit que détruit. A cette pensé, une sourire sadique apparu sur les lèvres de Shinjô. Oui, il aimait faire souffrir.

La porte de l’entré du bureau se fit voir. Le Chosen One la poussa, entrant dans le hall. Une domestique vint accueillir le garçon, tandis qu’une autre entrait dans le bureau de son « père ». D’une voix timide et angoisser, la domestique attira les yeux du vampire sur elle.

« Maitre Shinjô vous désirez ? »

Takeru soupira. Quelle question stupide, il n’était pas ici par hasard et certainement pas pour passer la nuit avec elle. Son regard noir et terrorisant se posa sur elle, ne lui répondant pas mais exprimant sa réponse à travers ses yeux. Elle était bien trop curieuse et sa présence ici ne se rattachait qu’au directeur.

Soudain, un cri strident retentit, venant de la pièce principal et ensuite un corps tomba à terre. La jeune femme devant lui sursauta, tandis qu’un simple sourire diabolique apparu sur les lèvres de Takeru. Il n’y avait pas de questions à ce posé sur ce cri, connaissant que trop bien Kurushima. Il avait certainement du mal apprécié une phrase qu’avait du prononcé la demoiselle et la cruellement châtié de se monde, se régalant la panse au passage. La domestique qui avait abordé le Chosen One elle, n’avait toujours pas bouger. Le regard destructeur du vampire la traversa et elle partie de se pas en direction du bureau.

« T...Tôji-sama, vous avez de la visite. »
« - Qui est-ce donc ? »
« - Shinjô Takeru-sama. »

La domestique sortit aussi rapidement qu’elle était entrée. De la où il était, Takeru pouvait voir se fameux corps gisant sur le sol. Le vampire sourit, il ne s’était donc pas tromper. S’approchant de la porte, il vit son « père » se lécher les doigts empli de sang. L’odeur du sang vint aux narines du leader et sous l’effet du splendide arome que dégageait le corps de la domestique, ses yeux se changèrent en un argent pénétrant. Takeru n’avait encore pas mangé depuis son réveil et cela éveilla son sens.

Kurushima lui fit signe d’entré et le garçon s’exécuta, les yeux scruté sur la morte. Il sourit, ayant bien trop l’habitude de se genre de situation avec son Master.

« - Shinjô, mon petit, comment va-tu aujourd'hui? »

Takeru fixa Kurushima droit dans les yeux, il avait faim et la vue de ce corps l’énervait. Tôji se leva alors, prenant une boite posé sur son bureau et revint à sa place. Il l’ouvrit. Son contenant était de sorte de petite bille d’un rouge profond. Son ami lui jeta alors un regard et dit.

« - Les meilleurs du marché, tu en veux? Du sang humain, tu aime le sang humain n'est-ce pas? »

Un sourire en coin apparut sur les lèvres du vampire Shinjô. Question ridicule, il ne perdrait son temps à y répondre, sachant que Kurushima connaissait déjà la réponse. Son Master en mit une dans sa bouche. Puis regardant la femme allongé sur le sol, il la fit éclaté en poussière dorée, qui disparu également. Soudain, la soif de Takeru descendit, ses yeux revenant à la normal. Ceci n’était qu’un avertissement à sa faim. Un chat entra par la fenêtre grande ouverte et vint se posé sur les genoux de l’unique, ce dernier le caressa avec douceur.

« - Assied toi je t'en prie, ne reste pas ainsi debout, dit-il en souriant »

A cette demande, Shinjô s’exécuta et vint de posé sur le fauteuil face à son ami. Il observait le chat, de couleur noir. Tôji avait un drôle d’attachement à se genre de bête, et Takeru ne le comprenait pas. Mais il n’y prêtait pas plus d’attention pour pouvoir arriver justement à comprendre. Néanmoins, le Chosen One n’était pas du genre à se rattacher à un être vivant, où du moins, très peu en avait l’occasion. La seul chose unique à la quelle il se rattachait était la nature.

Takeru sourit, relevant son regard machiavélique sur son Master.

« Tu es la personne qui m’a élever et tu ne sais toujours pas se que je mange ? C’est décevant, moi qui croyait que tu savais tout sur moi »

Le garçon soupira, s’adossant contre le dossier du fauteuil et croisant les jambes. Les yeux de Kurushima étaient posés sur lui, ce qui fit sourire son « fils ». Le Chosen One n’avait pas peur du directeur, et il était bien le seul. De plus, Kurushima appréciait certainement se comportement, enfin c’est ce qu’il laissait paraitre.

- Tu es la personne qui m’a élever et tu ne sais toujours pas se que je mange ? C’est décevant, moi qui croyait que tu savais tout sur moi.

Kurushima sourit de plus belle. Shinjô était bien le seul qui osé répondre ainsi à l'Ultime. Et il avait raison, car il n'avait rien à craindre du Directeur, jamais il ne lui ferait du mal. Shinjô était le seul être digne de son estime, et c'est ce qu'il voulait. Car si il l'a élevé, ce n'est certainement pas pour passé le temps. Non, Kurushima voulait un succésseur, car si le pacte entre le lui et Seijûrô Asano se brisait, le monde entier s'écroulerait et il n'aurait personne qui pourrait reprendre sa succéssion. Si Shinjô ne mourrait pas avec lui bien sûr. Le fait de pensé à sa mort et à celui de son fils - car Kurushima le considère comme tel - il ne pouvait le supporter. Deux vampires aussi puissant n'avait pas le droit de craindre la mort! La mort elle même devait en avoir peur.

- Je connais tout sur toi, mon petit Shinjô. Peut être pas le fond de ta pensé, car par respect envers mon fils, je n'utilise pas mes pouvoirs. Mais je connais tout sur ta vie, en tout cas, dit-il accompagné de son fameux sourire.

Il porta le chat au niveau de son visage et enfoui sa tête dans sa fourrure. Il huma profondemment la délicieuse effluve qui émanait de ce petit animal. Il carressa encore et encore sa fourrure...

- Je suis enchanté de ta visite. Car après plus de 500 ans d'existence, j'ai fini par me lassé de la vie..Mais pas de ta présence, et ni celle de la Lune et de la couleur du ciel lorsque le Soleil disparaît ou apparaît...

Il serra fort le chat entre ses mains, qui se débattit tellement fort qu'il griffa le Maître, mais ce fut sans conséquence. Car les égratinures labourèrent le chat et non Kurushima. Ce qui fit rire le Directeur.
Il susurra des " chut..." à l'oreille de l'animal qui miaulé sans jamais s'arrêter. Tôji inspira profondemment et planta ses crocs dans la chair. Quelle sensation...la seule sensation qu'il puisse aussi bien ressentir. Il aime ça, il aimé tellement cela que des petits grognement de jouissance se firent entendre par l'Ultime. Il vida la bête de son sang, et la tête retomba, inerte. Kurushima le câlina murmurant un petit " Merci " et d'un coup violent arracha le coeur du chat désormais mort. Il puisa les dernières goûttes dans sa bouche. Quel délicieuse boisson...Le regard vide et le geste totalement nonchalent, il éclata la bête en mille petit morceau doré contre le mur.
Il haussa les épaules, et esquissa un sourire diabolique à Shinjô.

- Ces petites billes ne te suffisent pas, Shinjô ? Veut-tu que je t'offre l'unes de mes domestiques? Pauvre créature...Elles sont si pitoyable mais si...savoureuse, exquise! Dit-il en riant au éclat.

Il se leva et s'adossa au mur, près de la fenêtre encore ouverte. De là il fit entrée des centaines de petites lucioles, qui toutes ensembles, formèrent une sorte de boule qui éclairèrent fortement la pièce. Il adressa un doux sourire à Shinjô, ce qu'il n'avait pas l'habitude de faire. Mais exprimé un peu de ce qu'il ressentait envers lui ne ferait de mal à personne. Surtout pour ce qu'il s'apprêtait à dire.

- J'ai une question très importante à te posé, je te prie de bien vouloir m'écouter. Mais avant cela, apprécie ce succulant repas, dit-il toujours en souriant. Je suis sûr que tu n'as pas trop l'occasion de boire du sang humain. Puisque tu sais qu'il est totalement interdit de touché aux élèves de l'école du Soleil...

Une domestique entra, il n'eut pas besoin de l'appelé car il avait utilisé ses pouvoirs. Elle ne s'attendait certainement pas à ce qu'imaginé Tôji et elle s'inclina.

- Je vous en prie, demandez moi ce que vous voulez, Tôji-sama.
- Ne bouge pas, dit-il sèchement.

Puis il regarda Shinjô et hocha la tête. Son sourire diabolique réapparu et il se mit à rire.

Kurushima sourit de plus belle. Takeru n’avait vraiment rien à craindre de lui et le directeur appréciait le caractère froid et indifférent de son « fils ». Oui, Shinjô le savait, Tôji ne lui ferrait jamais du mal et c’est bien pour cela que le Chosen One l’admirait. Le vampire Shinjô savait également que son « père » n’était pas inclus dans le complot qu’il s’était déroulé quelques siècles auparavant. Non. Au contraire, Tôji avait du certainement se mettre contre toute cette mascarade mais étant bien trop nombreux, cette fois-ci, il n’avait pas eut le pouvoir. Ce qui expliquerait son attitude encore plus féroce et hostile qu’autre fois.

Le Chosen One était toujours adossé contre son dossier les jambes croisées. Attendant la réponse de son Master. Il en souriait d’avance, sachant que sa réponse allait être aussi pénétrante que la sienne.

« - Je connais tout sur toi, mon petit Shinjô. Peut être pas le fond de ta pensé, car par respect envers mon fils, je n'utilise pas mes pouvoirs. Mais je connais tout sur ta vie, en tout cas, dit-il accompagner de son fameux sourire. »

Takeru sourit. C’était la réponse parfaite, à la quelle il c’était attendu. Il est vrai que d’après se qu’il pouvait en déduire, Kurushima n’avait jamais utilisé ses pouvoir sur son protégé, et une fois de plus, le Chosen One lui en était reconnaissant. Car, malgré son tempérament fort et dur, Takeru ne savait comment luter contre la télépathie et la vision de la mémoire, et il ne supportait pas que quelqu’un d’autre que lui, sache ce qu’il pense. Aiko était au courant et elle non plus n’avait eut le courage d’essayer. Néanmoins, si sa princesse venait à lire ses pensées, il ne se ferait pas priée pour savourer sa vengeance, aussi cruelle quelle soit.

Le directeur Tôji rapprocha le chat au niveau de son visage, enfouissant sa tête dans sa fourrure. Hument profondément l’odeur émanant du corps de la petite bête, il caressa encore et encore sa fourrure, avant de s’adresser de nouveau à Takeru.

« - Je suis enchanté de ta visite. Car après plus de 500 ans d'existence, j'ai fini par me lassé de la vie…Mais pas de ta présence, et ni celle de la Lune et de la couleur du ciel lorsque le Soleil disparaît ou apparaît... »

Un sourire en coin revint sur le visage du leader. Lui non plus ne se lassait de la présence de son Master, bien au contraire, il la réclamait de plus en plus. Appréciant chaque fait et geste de Tôji, Takeru se sentait mieux en sa présence que celle n’importe qui d’autre.

Tôji serra fort le chat qui était emprisonné entre ses mains. La petite bête se débâtait tant bien que mal et griffa le Maître. Bien évidemment, se ne fut que le chat qui ramassa les conséquences de son attaque. Ceci fit rire le directeur. Susurrant des chut à l’oreille de l’animal qui ne cessait de miaulé, le directeur inspira profondément et planta ses crocs dans la chair. L’odeur du sang vint titiller une nouvelle fois les narines du leader, bien qu’il ne soit pas aussi succulente que la première, celle-ci eut quand même assez de sensation pour faire revenir ses yeux à l’argent envouteur. Takeru avait soif et cela se faisait voir.

Le directeur laissait échapper des petits grondements de jouissance, vidant la bête de son sang. Ensuite, la tête de l’animal retomba inerte sur le cotés. Câlinant doucement le chat, Kurushima murmura un petit Merci et d’un coup violent, arracha le cœur du chat, désormais envoyé aux cieux. Takeru émit un petit rire enjôleur face à l’attitude de son Master. Plus rien ne l’étonnait à présent. Tôji puisa les dernières gouttes de sang dans sa bouche, puis d’un regard vide et d’u geste totalement nonchalant, il éclata la bête en mille morceaux dorés contre le mur.

Haussant les épaules, il adressa un sourire diabolique à Shinjô, mourant de soif devant lui.

« - Ces petites billes ne te suffisent pas, Shinjô ? Veut-tu que je t'offre l'unes de mes domestiques? Pauvre créature...Elles sont si pitoyable mais si...savoureuse, exquise! Dit-il en riant aux éclats. »

A vrai dire, Takeru n’avait même pas prit la peine de toucher à ses billes rougeâtre, sachant que ceci ne lui suffirait pas. Non. Il attendrait, attendrait que son Maitre lui offre une vraie personne, cette domestique qu’il avait vue au début. Son air innocent l’avait énerver et rien que pour jouer, il voulait la faire souffrir.

Kurushima se leva, s’adossant contre le mur près de la fenêtre encore ouverte. Puis, il fit rentrée des centaines de petites lucioles, qui toutes ensembles, formèrent une sorte de boule qui éclairèrent fortement la pièce. Shinjô observait ce spectacle de la nature qui s’offrait à lui. Sa bien aimée était encore si proche de lui à cet instant. Le directeur adressa un doux sourire à son « fils ». Chose rare qu’il lui arrivait et par étonnement, Takeru leva un de ses sourcils mais le rabaissa ensuite, pensant que Kurushima se voulait de lui adresser quelques fois un peu d’attention et de douceur à son égard.

« - J'ai une question très importante à te posé, je te prie de bien vouloir m'écouter. Mais avant cela, apprécie ce succulant repas, dit-il toujours en souriant. Je suis sûr que tu n'as pas trop l'occasion de boire du sang humain. Puisque tu sais qu'il est totalement interdit de touché aux élèves de l'école du Soleil... »

Takeru émit un rire diabolique. Le sang Humain, il y avait le droit bien plus que son Master ne le croyait, chassant quelques fois avec Takuya à l’extérieur et jouant jusqu'au lever du soleil. A cette pensée, une domestique entra et pas n’importe laquelle. Celle qui Takeru voulait. Coïncidence ou lecture ? Il s’en moquait bien, tant qu’elle ne lui appartienne qu’a lui.

« - Je vous en prie, demandez-moi ce que vous voulez, Tôji-sama.
- Ne bouge pas, dit-il sèchement. »

Regardant le Chosen One, il hocha la tête, se mettant à rire. Takeru se leva. De sa démarche sensuelle et assuré, il se rapprocha de la demoiselle, maintenant terrorisée. Takeru s’en réjouissait d’avance, le jeu. C’était dans ces seules situations que le Vampire aimait jouer, ayant une cruauté imparable à offrir à ses victimes. Il se positionna derrière la domestique d’une vitesse impressionnante. Elle n’eut même pas le temps de le voir passer, qu’il humait déjà sa délicate odeur, une mèche de cheveux entre les doigts.

« Shinjô-sama… »

Takeru passa un doigt sur sa bouche, posant sa tête sur son épaule afin de mieux voir son visage apeuré. Cruel et joueur, tel était le grand Shinjô Takeru lorsque sa soif s’emparait de lui. Il susurra des petits « Chut » à la domestique, lui mordillant l’oreille. Il ne fallait pas qu’elle gâche son plaisir maintenant. Cependant, elle ne bougeait pas, ce débattait pas et le Chosen One trouva cela vraiment ennuyeux. Il dégagea alors son cou et vint faire une légère pression sur la peau fine qui séparait ses crocs et le sang de sa victime. Il posa un léger baiser sur cette peau, regardant d’un regard amusé son Master. Avait-il comprit ? Takeru n’en serrait que ravis. Il attrapa alors les épaules de la jeune fille et le tourna alors dans sa direction. La fixant de ses yeux argentés, il vint à lui dire.

« Laissez-moi vous procuré ce plaisir… »

Il rapprocha alors son visage du sien et s’empara de sa bouche. Néanmoins, si la domestique elle pensait que tout ceci n’était qu’un baiser, Takeru sortit les crocs et transperça sa langue avec. Un hurlement vint se faire entendre de la part de la domestique, qui à présent ne pouvait plus parler. Elle poussa le vampire et tomba sur le sol. Amusé par la situation, Takeru se mit à rire d’un rire machiavélique. Il se positionna au dessus de sa victime, attrapant son cou et la rapprochant une nouvelle fois de lui et il vint lui dire ses dernières paroles.

« Se plaisir qui n’est que la mort »

Et à cette fin de phrase, il transperça la peau du cou de la jeune fille de ses crocs et se nourrit. Il entendait Tôji rire au éclat et ceci le fit sourire. Takeru savait pertinemment que ce jeu avait été distraction pour son Master, même si lui pensait qu’il n’avait pas été pimenté.

Suffisamment rassasié, il se releva, le sang coulant du coin de sa lèvre et sourire en coin. Il regarda la domestique allongé sur le sol. Il avait laissé encore quelques gouttes pour son « Père ». Essuyant sa lèvre, il s’adressa à Kurushima.

« Le reste est à toi, tu sais bien que je partage tout avec toi mon père »

Takeru sourit et fini.

« Dit moi ensuite cette question importante »

- Laissez-moi vous procuré ce plaisir…

Shinjô prit son visage entre ses mains, et posa ses lèvres sur celle de la domestique. Tôji sentait dans l'odeur du sang, un plaisir intense. La femme était au ange. Mais plus pour longtemps, car les crocs de Shinjô venait se transpercé la langue de la malheureuse, qui laissa échappé un cri de douleur atroce. Kurushima ne faisait qu'apprecié le spectacle.
Puis Shinjô transporta légèrement la femme et approcha son visage de son cou dénudé.

- Se plaisir qui n’est que la mort

Magnifique. Tôji s'attendait à ce genre de phrase. Sur ce, les crocs de Shinjô s'enfoncèrent dans sa peau..
Il éclata de rire. Un rire démoniaque, qui n'avait rien de plaisant à entendre.
Son protegé se releva, il semblait rassasié. Un peu de sang s'échappant de ses crocs et coulant sur sa lèvre, un sourire en coin et il dit :

- Le reste est à toi, tu sais bien que je partage tout avec toi mon père.

Tôji n'en était que plus ravit. Il rendit sans hésitation le sourire que Shinjô lui adressait. Il partit en direction de la domestique, et comme à son habitude, arracha le coeur. Il fermit les yeux, et passa sa langue sur le coeur. Succulant, mais pas assez. Peur...inquiétude...épouvante...dans le sang que pouvait contenir cet organe, il su tout ce que la pauvre ressentait lorsqu'elle était en vie. Il aperçu même tout les cauchemars qu'elle faisait la nuit...Des cauchemars dont la réalité était bien plus cruel.

- Dit moi ensuite cette question importante.

Il ouvrit ses paupières tant bien que mal. La fameuse question. Tôji était presque sûr que Shinjô allé accepté la proposition qu'il s'apprêtait à dire. S'il refuserait, ce ne serait pas normal. Et Tôji ne pourrait peut être pas retenir sa colère. Mais malgré tout, il ne s'en prendrait pas à Shinjô, mais plutôt aux autres dans l'école..
l'Ultime ne le fit pas attendre plus longtemps.

- Si un jour il m'arrivé malheur, car malgré mon invincibilité, le danger peut être partout..Donc, s'il m'arrivait malheur, et que tu sois indemne, serais-tu prêt à me succédé?

Ses yeux devinrent plus doré que jamais. La boule de luciole qui s'était formé, eclata soudain et toute les lucioles se mirent à vagabondé dans la pièce. Un magnifique spectacle de lucioles. Un grand courant d'air glacé parvint jusque dans le bureau et fit voleter les cheveux de l'Ultime et du Chosen One. Il serra plus fort le coeur entre ses mains et fixa Shinjô. Sur le moment, il aurait voulu pénétrer dans ses pensés, savoir la réponse sans même qu'il est a prononcé une parole, mais il rassembla sa force et lutta contre ce désire dévorant sa poitrine...

- Evidemment, pas tout de suite, mais si le secret que je détient en vint à être découvert et qu'on l'utilise contre moi, alors je voudrais que ce soit toi qui gouverne, qui assure la sécurité de notre race comme je le fait maintenant. Que tu acceuille dans cet école, toutes ces créatures de la nuit errant sans but précis dans le monde...

Le coeur éclata soudain en poussière doré. Les lucioles reformèrent une boule et le vent se calma. Mais la boîte de bille se renversa et toutes les affaires sur le bureau aussi. Le fait de pensé à sa propre mort le terrifié. Et Shinjô, lui semblait-il, ressentait aussi cela. Un vampire...mourir...ce n'était pas permit! Et pourtant...il existé bel et bien un moyen de les tués. Mais encore faut-il que cet histoire soit vrai?!

Takeru était là. Observant les gestes de son Master. Qu’avait-il de si important à lui faire part ? Certes, Kurushima dévoilait pratiquement tous ses secrets au vampire Shinjô. Néanmoins, seulement ses secrets les plus faibles. L’insistance sur le mot Importance sortant de la bouche de Tôji étonnait fortement le Chosen One. Ceci n’était pas dans ses habitudes.

« - Si un jour il m'arrivé malheur, car malgré mon invincibilité, le danger peut être partout…Donc, s'il m'arrivait malheur, et que tu sois indemne, serais-tu prêt à me succédé? »

Instinctivement, un sourcil se leva sur le beau visage du Chosen One. Le Succédé ? Lui, un vampire des plus ordinaires ? Takeru était étonné mais extrêmement honoré d’une telle proposition. Lui qui avait toujours pensé à une succession, sang pur à sang pur. Les rumeurs des élèves sur la succession de l’école étaient donc fondées. Un large sourire apparu sur les lèvres du vampire. Supériorité.

Il fixa son Master, ses yeux devinrent de plus en plus dorés, virant à l’or ultime. Ses yeux qui avait tant rassuré le garçon à leur rencontre, ses yeux qu’il aimait tant voir. La boule de luciole qui s’était formé quelques minutes plutôt se brisa, laissant les insectes scintillants flâné dans la pièce. Un splendide spectacle offert au deux être proches de la pièce. Oui, car il fallait le dire. A cet instant, Kurushima et Takeru n’avait jamais été aussi proche. Une brise s’engouffra dans le bureau du directeur, faisant volés les cheveux des deux vampires dans son espace vide. Un sourire apparu sur ses lèvres voyant son Maitre le fixer, comme si il voulait lire dans ses pensées et qu’il se forçait à résisté. Néanmoins, Takeru n’était pas stupide et n’allait pas refuser une telle offre. Il voulait être supérieur et rendre honneur à Tôji. Lui qui l’avait élevé, il ferait tout pour que son nom ne s’efface jamais des mémoires des créatures de la nuit, vaguant entre la mort et la vie.

« - Evidemment, pas tout de suite, mais si le secret que je détiens en vint à être découvert et qu'on l'utilise contre moi, alors je voudrais que ce soit toi qui gouverne, qui assure la sécurité de notre race comme je le fait maintenant. Que tu accueilles dans cette école, toutes ces créatures de la nuit errant sans but précis dans le monde... »

Le cœur éclata soudainement en poussière dorées et les lucioles revinrent à leur emplacement, calmant le vent. Cependant, la boite contenant les billes de sang tomba à terre ainsi que les affaires exposées sur le bureau. La mort. La fin de Kurushima. Pourquoi mourrait-il ? Takeru savait que personne pourrait le vaincre ou alors, il s’abstenait d’y croire. Oui, sans Kurshima Tôji, le Chosen One perdrait une partie de son existence et il ne voulait admettre que la mort face partie des principes de leur existence. Immortel, mais pouvant être tué, s’entre tué. Non, si Kurushima viendrait à être condamné, le vampire Shinjô ferrait tout pour lui garder la vie sauver et au risque de perdre la sienne.

Le Chosen One s’approcha de son supérieur, s’inclinant devant lui. Si ceci était la demande de son Master alors il l’acceptait. Recherchant tant la supériorité, ceci était la meilleure opportunité. Néanmoins, le secret de Tôji était extrêmement bien gardé et même Shinjô Takeru, le vampire le plus proche du directeur en ce jour, ne le connaissait pas.

« Je le ferais avec le plus grand honneur que je puisse te donner. Où que tu sois, je ne te décevrais pas, et ne ferais en aucun cas oublier ton nom. Non, il restera à jamais dans les mémoires. »

Tôji Kurushima, l’ultime. Personne ne l’oublierais et que ce soit en bien ou en mal, se nom restera graver dans les temps, dans les mémoires. Oui, Kurushima le méritait, bien plus que n’importe qui.

Shinjô leva ses yeux, les encra dans ceux de son Master. Non, sa mort n’était pas permise. Mais se secret éveilla la curiosité du vampire. De quoi pouvait-il bien s’agir ? Le directeur Seijûrô était-il au courant ? Ses questions tillaient le Chosen One. Si il devait succéder son Maitre, il se devait de au moins savoir une partie de se secret si bien gardé. Mais es ce que Tôji avait une si grande confiance en son fils pour lui faire part de ceci ? C’était le seul moyen de le découvrir.

« Tôji, certes je te succéderais mais au fond de moi, si un jour ta mort vient nous atteindre, au fond de moi je ne pourrais l’accepter et tu le sais, te perdre est perdre une partie de mon existence. J’ en ai déjà perdu une, lorsqu’elle s’est envolée, je ne veux pas perdre la seconde. »

Les yeux de Takeru ne décrochaient plus des yeux extrêmement dorés à la perfection de Kurushima. Elle était partie, lui ne devait pas l’abandonné à son tour. Takeru était un vampire puissant, mais perdre la seule chose à laquelle il s’accrochait le plus, où ceci l’emmènerait-il ? Certainement pas à la folie, mais à la cruauté. Oui, il s’en prendrait à tous ceux qui prendrait oseraient salir le nom de Son Ultime. Takeru serrait encore plus crains qu’il l’était en ce moment même. Cela lui plaisait, mais pas le reste. Il avait encore besoin de son « père ».

« Père, ne devrais-je pas, en tant que successeur, connaitre cette chose qui pourrait se retourné contre toi ? »

Même si cette question avait été indiscrète, Tôji savait parfaitement qu’il ne s’agissait d’un piège. Non, Takeru ne s’en prendrait jamais à lui, comme lui ne s’en prendrait jamais au Chosen One. La curiosité et la connaissance, c’était les uniques choses qui avait poussés le vampire à posé cette question.

- Je le ferais avec le plus grand honneur que je puisse te donner. Où que tu sois, je ne te décevrais pas, et ne ferais en aucun cas oublier ton nom. Non, il restera à jamais dans les mémoires.

Une vague de fierté venait d'enhavir Tôji tout entier. Il le savait, il l'avait senti depuis le jour où il l'avait rencontré! Shinjô ne pouvait pas refusé une tel chose. Kurushima savait qu'il pouvait lui faire confiance.
Il avait lu dans ses yeux, le premier jour de leur rencontre, que ce petit homme pourrait un jour lui succédé.
Tôji peut se reposé sur Shinjô, ainsi que lui à le droit de se roposé sur Tôji.
Son fils leva ses yeux vers l'Ultime, un regard si profond...si Tôji n'avait été qu'un simple vampire, Shinjô aurait pu lire dans ses pensés, il aurait même pu ressentir ce que Tôji lui même ressentirait.
Mais le Directeur était l'Ultime, et personne ne pouvait pénétrer dans sa tête. Aucun pouvoir humain ou surnaturel ne pouvait l'atteindre. Juste renforcer ses pouvoirs.

- Tôji, certes je te succéderais mais au fond de moi, si un jour ta mort vient nous atteindre, au fond de moi je ne pourrais l’accepter et tu le sais, te perdre est perdre une partie de mon existence. J’en ai déjà perdu une, lorsqu’elle s’est envolée, je ne veux pas perdre la seconde.

Il fixait toujours Tôji. Celui ci sourit. Qui d'autre à part son fils pouvait regardé l'Ultime ainsi? Son coeur sembla même se réchauffer un instant, une micro-seconde à peine..Car personne, jamais personne n'avait osé le regardé ainsi. Depuis sa naissance, on n'avait cessé de le traité comme un monstre. Mais pas Shinjô, c'est pourquoi Tôji s'est donné corps et "âme" dans l'éducation de son protegé. Il s'était dit, avant, et le pensé encore aujourd'hui, qu'il n'accepterait pas qu'on lui fasse du mal, et qu'il serait craint, tellement craint qu'on pourrait le comparé à Tôji, ce qui, chez certaine personne, était impossible. Qu'elle idée de comparer un vampire, - qui n'est même pas un Sang-Pur - à l'Ultime!
La mort elle même en aurait peur.

- Père, ne devrais-je pas, en tant que successeur, connaitre cette chose qui pourrait se retourné contre toi ?

Connaître cette chose...Tôji était soudain énervé contre lui même, il était piégé. Il aurait voulut dire ce secret à Shinjô, mais s'était promit, bien avant sa rencontre avec celui-ci, que personne ne devait connaître le secret de la relique. Il poussa un grognement.

- Dans le monde où l'ont vit, il faut faire face à des choses comme tel...

Il resta impassible, tout en fixant Shinjô. Mais bientôt, il lui adressa un sourire désoler.

- Tu sais bien que je t'accorde une énorme confiance...Mais ce secret là, je me suis juré de ne le dévoilé à personne. Ce terrible secret...Mais je crois, un jour, que tu finiras bien par l'apprendre...Retiens juste que si tu entends le mot " relique " sortir de la bouche d'un élève, tu dois absolument me prévenir. Notre vie en dépend.

Tôji savait qu'en disant " notre vie en dépend " il dévoilé un peu de son secret.

Takeru attendait, attendait que Tôji s’affirme. Parle. Mais il était là le fixant, les yeux énervés. Le Chosen One avait certainement du toucher un point sensible chez son Master, éveillant sa colère. Certes, le vampire Shinjô savait que Kurushima ne s’en prendrait à lui, mais malheur à l’élève qui croiserait son chemin dans les minutes qui suivrait leur entretien.

Takeru observait son Master qui lui poussa un grognement sourd. Cet acte avait pour réponse, un « non je ne peux rien te dire ». Pourquoi ? Shinjô Takeru n’était il donc pas digne de confiance ? Non, il devait y avoir une autre raison pour que Tôji ne lui dévoile pas se secret important.

« - Dans le monde où l'ont vit, il faut faire face à des choses comme tel... »

Comme tel ? Le silence ? Takeru était le vampire bien placé pour connaitre se mot. Oui, le Chosen One ne se confiait à personne depuis la mort de celle qu’il aimait. Toutes traces de confiance avait disparu, il faisait confiance à personne hormis Tôji. Ce dernier avait été le seul à le soutenir durant cette dure épreuve. Bien que Shinjô savait que son Master avait préféré choisir son secret et sa protection que celle de sa bien aimé, il n’avait pas abandonné le vampire à son malheur. Prenant soin de lui plus qu’il ne l’avait fait avant, séchant les seules larmes qui avaient coulées des yeux. Tôji s’était montré attentif et présent.

Un sourire désoler apparu sur les lèvres du directeur. Takeru pouvait comprendre, s’il ne lui dirait pas, se serait pour des raisons extrêmes. Le vampire Shinjô ne pourrait lui en vouloir, à lui qu’il considérait comme son Unique Père.

« - Tu sais bien que je t'accorde une énorme confiance...Mais ce secret là, je me suis juré de ne le dévoilé à personne. Ce terrible secret...Mais je crois, un jour, que tu finiras bien par l'apprendre...Retiens juste que si tu entends le mot " relique " sortir de la bouche d'un élève, tu dois absolument me prévenir. Notre vie en dépend. »

Des reliques ? Les yeux de Takeru se durcirent. Qu’es ce qu’une relique faisait dans le secret de Kurushima ? Il ne comprenait pas, la seule chose qu’il pouvait comprendre c’est que si un élève connaissait et parlerait de cette relique, il serait en grand danger, Tous. Mais qui, qui dans ce monde pourrait vaincre l’Unique ? Où plutôt qui oserait s’en prendre à lui ? Cette relique était-elle si puissante que cela pour que Tôji perde ses pouvoirs ? Ses yeux devinrent noirs de fureur, de terreur. Non, personne ne pourrait le vaincre, il en était convaincu. Et puis qui ?

« Je ne vois pas ce qu’une relique vient faire la dedans, mais par respect pour toi et ce secret je ne t’en demanderais pas plus et ne chercherais pas à savoir, tu à ma paroles. »

Takeru fixa son Master de son regard dur et repoussant. Empli de haine, le regard qui en avait tué plus d’un. Se regard ne s’adressait pas à Kurushima et ce dernier le savait. Non, il s’adressait à la personne qui oserait s’en prendre à lui, et à Takeru par la même occasion. Car qui touche l’Unique, touche le Chosen One. Tel est son destin. Deux vampires contre un, de plus deux vampires à force et sang froid inégalable. Takeru ne voyait pas qui pourrait exterminé l’école, l Unique.

« Mais qui ? Qui oserait faire cela ? Je t’avoue que je ne conçois pas cet acte. Peut-être même que toi non plus, n’est ce pas ? »

- Je ne vois pas ce qu’une relique vient faire la dedans, mais par respect pour toi et ce secret je ne t’en demanderais pas plus et ne chercherais pas à savoir, tu à ma paroles.

Shinjô regarda Tôji, de son regard pénétrant...Heureusement que le Directeur n'est pas un simple humain.
Heureusement que Shinjô ne chercherait pas à savoir, car la peur et la colère l'envahirait d'une seconde à l'autre...
Tôji, lorsqu'il avait trouver la relique avait détruit toute une forêt et tuer un maximum d'humain, tellement sa colère était grande. Mais comment?! Pourquoi?! Pourquoi après toutes ses années de "souffrance", on l'avait traité comme un monstre, et apprendre qu'on pouvait tuer un vampire?! Qu'on pouvait tuer l'Ultime?! Aujourd'hui encore, il refuse d'y croire et Tôji n'est pas bête. Il a essayé un bon nombre de fois de tuer des vampires, de puissant vampire de Sang-Pur, et ils sont morts. Ils sont tous morts les uns après les autres! Et la fureur de l'Ultime n'avait cessé de s'accroître depuis...

- Mais qui ? Qui oserait faire cela ? Je t’avoue que je ne conçois pas cet acte. Peut-être même que toi non plus, n’est ce pas ?

Exactement. Après avoir découvert cela, le caractère de l'Ultime s'était endurcie, au même point que sa cruauté...
La souffrance et le dégoût avait laissé place à la cruauté et la colère. Mais aujourd'hui, rien qu'aujourd'hui, la souffrance et le dégoût avait refait surface. Un terrible mélange d'émotion et de sentiments des plus désagréable...
Ce soir là, toute la Terre aurait pu tremblé sous la colère de l'Ultime, mais il se retint, et décida pour une fois de caché son désespoir...Il repensé au visage effrayé de sa mère...elle avait si peur de son enfant...un enfant qui, dans son ventre, avait faillit la dévorer. Un enfant au yeux or, l'Ultime. Mais ce n'était qu'un enfant bon sang! Que peut-on craindre d'un petit garçon qui ne connait pas le jour. Qui ne savait même pas d'où le liquide exquis qu'il buvait venait! Le mot "cruauté, épouvante" ne lui venait jamais à l'esprit. Car il ne savait pas comment s'y prendre pour être cruel. Se reprendre. Tôji devait se reprendre absolument! Il ne devait montrer aucun signe de faiblesse, à rien ni personne! Même si Shinjô ne connaissait rien de son passé, il pouvait quand même un peu se reposer sur lui. Mais il n'en avait pas envie, il ne voulait pas se montrer faible, pas maintenant et pas devant lui. Lui qu'il avait élevé dans l'amour et la cruauté. Un amour qu'il avait caché derrière la cruauté. Les lucioles s'étaient à présent enfuient, de leur propre chef, elles avaient peur et Tôji fit de grand yeux voyant cela. Shinjô sembla faire un pas.

- Ne...t'approche pas...Ne me...regarde pas...S'il te plait..Shinjô.

Se tenant près du mur, il s'y plaqua violemment. Les yeux écarquillés, horrifié de son impuissance à ce moment là, il porta sa main à sa gorge, et serra. Puis il descendit ses mains à sa poitrine, et essaya de labourer sa peau, mais rien de se fit. Lui même de pouvait se faire du mal. La faim l'avait soudainement prit. Une faim irresistible, qui l'irritait tellement qu'il ne pouvait plus prononcé aucune parole. Son regard était affreux, ses soucirls froncés au maximum, il lança un nouveau regard désolé vers Shinjô, et il s'enfuit vers la fenêtre grande ouverte. Fuir. Tôji n'avait pas pour habitude de fuir. Mais à ce moment, les souvenirs des visages dégoûtés et effrayés avaient refait surface. La grande main de son père n'osant se posé sur lui...les horribles - mais doux - chuchotements de sa mère à son oreilles...
La nuit allé être longue, pour Tôji, pour Shinjô et sûrement pour tous les élèves de cette école.

« - Ne...t'approche pas...Ne me...regarde pas...S'il te plait…Shinjô. »

« Arrête, ceci ne te conduira à rien tu le sais, arrête… je t’en pris »

» Shinjô Takeru <3
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