Consolation [Shinjô Takeru] [TERMINER]

Suite de > Un peu de compagnie..(bureau du Directeur)

Tôji ne s'arrêta pas de courir, même s'il savait que Shinjô était juste derrière lui. Sa soif dévorante, déchirante ne cessait d'augmenter. Et la souffrance rongeant son coeur aussi. Tous ces visages apeurés...Ils avaient peur d'un enfant! Un enfant qui était néanmoins l'Ultime et qui cachait un terrible pouvoir.
Il déracina tout les arbres de son passage et bu le sang de tout les animaux qu'il trouvait. Le sang avait le même goût, à chaque morsure, car tous les animaux était effrayés.

- N'ayez crainte...je ne suis pas méchant...JE NE SUIS PAS MECHANT!!

Haletant, il cherchait et cherchait encore...Mais que cherchait-il? Sûrement un endroit, ou quelque chose qui pourrait apaiser sa souffrance. Mais que deviendra-t-il si cette souffrance l'emporte,- soit plus forte que lui - à chaque fois qu'il repense à son minable passé? Il voulait pleurer, comme les humains le faisait si bien pour apaiser leur souffrance ou leur colère..Mais lui n'y parvint pas, seuls de terrible grognement réussirent à sortir de sa bouche.
Pendant toutes ces années...il avait dissimuler cette souffrance et refusé de repensé à son passé. Pourtant, il n'avait subit aucune maltraitance étant jeune. Non...mais il aurait préféré cela, il aurait préferé être maltraité, rien que pour savoir que sa présence ne leur faisait pas peur, qu'il était un enfant et que eux étaient les parents, et qu'ils avaient, à cette époque, tout les droits sur lui. Même de le tué s'ils avaient pu. Mais non, bien sûr que non, eux prenaient leur distance et Tôji resté parfois des semaines entière cloîtrer dans sa chambre, un regard épouvantable affiché sur son visage. Et dans ces cas là, le professeur ne venait pas, ni même ses parents qui n'oser pas le nourrir. Alors il resté, assit dans un coin de sa chambre, une soif déchirante rongeant son coeur, la gorge si sèche qu'aucune parole ne pouvait sortir de sa bouche. Et lorsqu'il daigné enfin à sortir, le visage terrorisé de sa mère faisait son apparition et elle chuchoté doucement, de sa voix de mère, pour ne pas eveillé la colère du petit Kurushima " T'es tu...bien...reposé? "

Une biche passa, puis elle s'arrêta soudain et fixa Tôji. Quelques secondes après, effrayé elle tenta de s'enfuir mais Tôji utilisa ses pouvoirs et paralysa la bête. Il s'approcha d'un pas lent, mais toujours élégant, vers l'animal, puis il souleva la bête de sa main, comme si elle n'avait pas de poids. Et il bu, son regard emplie de tristesse, tout le sang de la bête. Il était a présent rassasié, il n'en voulait plus, il ne voulait plus de sang pour l'instant. Jugant pour le moment qu'il avait tué assez de bête et détruit trop d'arbre...Mais sans attendre une seconde de plus, il répara tout ce qu'il avait fait subir à la nature, pas les animaux car il ne peut rien y faire, mais la nature est pour lui ce qu'il y a de plus précieux. Puis, il remarqua enfin la présence de Shinjô. Il laissa tombé la bête qui éclata en poussière doré et porta son regard sur son protegé. Et un trou béant sembla se creusé dans sa poitrine...Il jura, intérieurement, que c'était la première et dernière fois qu'il craquerait comme ça, plus jamais il ne se laissera aller ainsi. Mais que voulez vous?! Des siècles à supporter cette tristesse! Il fallait bien qu'il laisse évaqué cela un jour...Shinjô s'approcha, et le Directeur se mit à grogné, tel un animal, de plus en plus fort. " Ne t'approche pas, ne me regarde pas, pensait-il "
Qui sait ce qu'il pourrait arriver au petit Shinjô à ce moment là...Mais Tôji à appris à retenir sa colère, et même s'il n'y serait pas parvenu, il n'aurait rien fait à son fils.

- Arrête, ceci ne te conduira à rien tu le sais, arrête… je t’en pris.

Arrêter, il aurait bien voulu arrêter. Mais ces paroles n'avait fait qu'augmenter sa colère. Ce n'était pas le moment pour Shinjô de se montrer ainsi, car Tôji se sentait pitoyable. Tôji, l'Ultime, le plus puissant...écrasé sous le poid de la souffrance. Et soudain, Shinjô fit un acte que jamais il ne s'était permit de faire. Un acte qui éveilla de nouveau souvenir au Directeur. Lorsque Shinjô avait perdu sa bien aimée, Tôji, après mure réflexion, l'avait prit dans ses bras. Enlaçant tout son être, pensant que comme cela, sa souffrance pourrait s'apaisé un peu. Car l'Ultime savait ce que cela faisait de perdre un être cher, et il aurait bien voulu, à ce moment là, qu'une personne vienne l'enlacer ainsi.
Et une chaleur, une once de chaleur sembla traverser la poitrine de Kurushima. Le geste de son fils lui fit le plus grand bien. Sa machoir se desserra, ses muscles aussi, et tout son coprs sembla s'apaiser.

- Merci...Takeru. Pardonne moi d'avoir fait vivre cela à mon fils. Ce devait être horrible pour toi de me voir ainsi. Mais retient bien une chose et tire en une leçon d'avoir été présent à cet instant, n'enfoui jamais ta souffrance au fond de toi. Peu importe si les gens voit ton visage triste et n'est plus, - pendant quelques secondes, quelques minutes...- peur de toi. Car voilà ce qui arrive lorsqu'on tente de dissimuler une blessure sans la laissé cicatriser elle même.

Takeru. Tôji n'avait jamais appelé son protegé " Takeru ". Mais c'était le bon moment pour l'appelé ainsi. Il enroula alors son fils de ses bras dur et puissant, resserra son étreinte et tapota le dos de son fils. Et quelque animaux s'approchèrent, ils n'avaient plus peur. Tôji, de son pouvoir fit reculer les élèves présents dans la forêt sans qu'eux même de se rendent compte qu'ils partaient. Il relacha son fils, et lui fit de même, puis il s'appuya contre un arbre et se laissa tombé par terre. Il mit ses mains sur l'herbe fraiche et ferma ses paupières. Un écureuil, en aucun cas appeuré, vint se placé sur les cuisses du Directeur, qui se mit à le caresser.

- Il est bon, parfois, d'être aimé et non craint. Ma cruauté vient parfois toute seule, mais le plus souvent, c'est justement pour être craint. Craint et respecté. Car sans cela, les règles ne seront pas respecté, le secret de la relique en serait à être découvert et alors, l'apocalypse s'abattra sur ce monde. Juste après une terrible guerre entre humain et vampire...L'avenir de notre race est entre mes mains, dit-il de sa voix la plus grave et sérieuse.

Les bras du jeune vampire ne bougèrent pas. Restant autour de son père. Ce geste était le seul moyen qu’il avait pensé pour pouvoir apaisé sa colère meurtrière. Tôji n’avait pour habitude d’agir ainsi, mais Takeru pouvait le comprendre. Lui qui enfouissait tout au fond de lui, il pouvait concevoir ce mal qui rongeait l’être ultime se trouvant entre ses bras. Comment vivre lorsqu’une douleur reste ancrée à jamais dans notre cœur ? Le Chosen One ne savait par quel moyen il y parvenait. Et savait que tôt ou tard, il éclaterait à son tour. Comme venait le faire son père. Etre froid et passif ne mène pas forcément au bonheur.

« - Merci...Takeru. Pardonne-moi d'avoir fait vivre cela à mon fils. Ce devait être horrible pour toi de me voir ainsi. Mais retient bien une chose et tire en une leçon d'avoir été présent à cet instant, n'enfoui jamais ta souffrance au fond de toi. Peu importe si les gens voit ton visage triste et n'est plus, - pendant quelques secondes, quelques minutes...- peur de toi. Car voilà ce qui arrive lorsqu'on tente de dissimuler une blessure sans la laissé cicatriser elle même. »

Takeru. Cette prononciation l’interpella. Pour la toute première fois depuis leur rencontre, Kurushima venait de briser la dernière barrière qui se tenait entre eux. Rien qu’en prononçant son prénom, Tôji venait de réchauffer un instant le cœur froid du jeune Chosen One.

Les bras de l’Ultime viennent alors entourer le vampire. Resserrant un peu plus leur étreinte. Etreinte qu’il n’avait jamais renouveler depuis ce terrible accident. Les rôles s’étaient également inversés. Lui le protecteur et le consolateur, Tôji l’être blesser et abattu. Tout avait tellement changé depuis sa disparition. Takeru ne voyait que son père et ne jurait que par lui. Car il ne lui restait plus que l’Ultime pour vivre. Il était sa seul raison d’exister. La seule personne qu’il ne voulait pas voir souffrir. Pour cela, le Chosen One se devait d’être fort et respecter des autres, afin que rien de désagréable ne ce produise dans l’enceinte de l’école de la lune.

Même si Tôji voulait fortement que son fils dévoile se qui lui pèse le cœur, Takeru ne dirait rien. Ses secrets plus puissant qu’il soit, il s’était juré de ne jamais les dévoilés avant sa vengeance. Après tout, ce Shinjô est à part de sa famille humaine. Depuis sa transformation et son éducation part Kurushima, il était devenu solitaire, parlant peu, et surtout très cruel. Souffrir, s’était en faire de son passe temps favoris. Le cri de ses victimes, la douleur des êtres qu’il punissait, tout ceci le faisait frémir de plaisir. La personnalité de son Master s’était reflétée en lui. Comme pour qu’il devienne, son second.

Les deux hommes se retirèrent. Les animaux avaient pris place autour d’eux après que les élèves se soient dispersés en dehors de la forêt. Le directeur pris place aux pieds d’un arbre, rapidement accompagner par un écureuil qui vint se posé sur ses jambes. Cette situation aurait put sembler étrange à un autre que Takeru. La colère de l’Ultime si vite remplacé pas sa sagesse. Mais le Chosen One en avait pris l’habitude, et plus rien ne le choquait.

« - Il est bon, parfois, d'être aimé et non craint. Ma cruauté vient parfois toute seule, mais le plus souvent, c'est justement pour être craint. Craint et respecté. Car sans cela, les règles ne seront pas respectées, le secret de la relique en serait à être découvert et alors, l'apocalypse s'abattra sur ce monde. Juste après une terrible guerre entre humain et vampire...L'avenir de notre race est entre mes mains, dit-il de sa voix la plus grave et sérieuse. »

Un petit sourire vint taquiner la lèvre de Takeru. Il le savait, depuis si longtemps, que la seule survit des créatures nocturnes dépendait de lui. Il en était délibérément conscient. Et c’est pour cela qu’il risquerait sa vie pour le maintenir en vie. Lui, son père. Se secret, cette relique, ceci l’agaçait de ne pas savoir, de ne pas connaitre cette vérité si importante. Mais le divulgué semblait être dangereux.

Un loup de poil blanc approcha le Chosen One. Etrangement, se n’était que les animaux solitaires, stratégique et cruel qui s’approchaient du jeune vampire. Des êtres qui lui ressemblaient. Néanmoins, ce loup, ou plutôt cette louve, n’était pas un simple animal à ses yeux. Non. Il la connaissait depuis tant longtemps. Cette louve avait été présente à mainte reprise après « sa »mort. Comme si elle partageait la souffrance du vampire en elle. Comme si tout deux étaient liés par lien invisible.

« Bonsoir … Ai »

Ai. C’était le nom que Takeru avait fini par donner à cet animal. Aimer était la signification. Il avait choisi se nom car l’animal était apparu juste après qu’il est vécu se sentiment profond. Acte qui le marqua sans qu’il s’en rende compte.

S’agenouillant devant l’animal, il attrapa des ses mains sa tête l’ébouriffant gentiment pour enfin la caresser. Les yeux de Ai était de la même couleur que les siens lorsque sa soif envoutait. Argent, couleur métal. Lui et elle était pareil, fonctionnait pareil. Takeru arrivait même à jouer avec elle, sans que les regards ne le gêne. Non, lorsque Ai était là, plus rien ne le contrariait. Elle était comme une énergie pour lui, un besoin vital de l’avoir près de lui. Exactement comme Kurushima.

Après quelques minutes, le Chosen One se retourna vers son père. Celui-ci possédait un regard doux, chose rare. Ses yeux étaient rivés sur l’animal. Avait-il compris ? Compris que Takeru traitait Ai comme cette fille ? Cette fille qu’il à tant aimé et qu’il continu à aimer encore et encore ? Un sourire apparu sur le visage du vampire, un sourire froid mais heureux.

« Ai, je te présente le grand et l’Ultime Tôji Kurushima, ne soit pas désobligeante avec lui, il compte sans limite à mes yeux »

L’animal leva la tête en direction du vampire Shinjô, comme pour lui dire qu’elle ne ferait rien de contradictoire. Mais elle resta près de lui, fixant l’Ultime de ses yeux argenté.

« Tôji, j’ai une entière confiance en toi. Je crois en la possibilité que jamais notre vie ne fera faillite si tu es encore vivant en ce monde. Sache que je ferais tout pour que ta vie reste saine et sauve »

Avec Kurushima, Takeru ne pesait pas ses mots. Il parlait avec son cœur, seulement son cœur. Il savait bien qu’il était le seul à refuser certaines fois les demandes du directeur, à s’opposé à lui et surtout à l’aimer tel qu’il est. Non pas en tant qu’Ultime ou simple directeur. Il aime avec une force beaucoup plus accentué et puissante. Il l’aime tel un père.

Et soudain, une magnifique louve fit son apparition. Tôji cru d'abord que c'était à cause du pouvoir émanant de l'Ultime que l'animal venait d'approché Shinjô, mais il se rendit vite compte qu'il avait tort.

- Bonsoir … Ai

Ai...Aimer? Voilà donc le nom qu'il avait donné à cet animal...Tôji compris alors pourquoi ce nom. Il se sentit désolé pour Shinjô. Il avait perdu l'amour de sa vie, et Tôji n'avait rien pu faire à cela...Mais le mot Amour lui rappelait aussi ses propres sentiments. Lui aussi, avait aimé une femme, une humaine. D'un amour si fort qu'il en était devenu complètement dépendant. Mais il ne souffre pas, pas encore, car cela ne fait que 17 ans qu'il l'a quittée. Et pour un vampire, 17 ans ce n'est absolument rien du tout. Surtout pour Tôji qui a vécu plus de 500 ans.
Il se connaissait bien avant, mais Tôji ne pu resté plus longtemps avec elle. Pour justement protegé sa race, et surtout, pour que cet ange ne découvre pas la cruauté qui était dissimuler en lui.
Shinjô s'agenouilla et prit la tête de l'animal, passant sa main dans sa fourrure, la carressant...Et Tôji ressera le petit écureuil dans ses bras. L'Ultime n'avait personne, à part Shinjô, à aimé. Et mit à part bien sûr, ses précieux souvenir passé avec son doux amour...Mais il s'efforçait à oublié, pour que sa souffrance, plus tard, en sois un peu moin cruel...Mais il savait que au bout de...50 ans, ce manque allé ravagé son coeur tel une tornade et tout emporté sur son passage. Et il ne resterait plus rien de lui. Sauf Shinjô, Shinjô son fils pour qui il serait prêt à...se sacrifier?
Celui ci tourna la tête vers Tôji, qui le regarda avec amour. Une chose tellement rare...d'habitude, son visage était totalement inexpressif ou alors, on pouvait y lire parfois, la douleur et une expression horrible, celle que tout le monde craint le plus. Car lorsqu'il arbore cette expression terrible, il prépare forcement un coup bas.

- Ai, je te présente le grand et l’Ultime Tôji Kurushima, ne soit pas désobligeante avec lui, il compte sans limite à mes yeux

L'animal fixa Kurushima. Et lui regardait cette scène avec une sorte de fascination. Il souria à l'animal.

- Tôji, j’ai une entière confiance en toi. Je crois en la possibilité que jamais notre vie ne fera faillite si tu es encore vivant en ce monde. Sache que je ferais tout pour que ta vie reste saine et sauve.

Il sourit une nouvelle fois. Ces paroles ne pouvait que lui faire plaisir. Même plus que ça, car son coeur semblait se réchauffait peu à peu. Il ferma les paupières, comme pour mieux profité de cette sentation rare et précieuse.
Il n'y avait vraiment que Shinjô, dans ce bas monde, pour réchauffer son coeur...
...Et deux, trois, quatre écureuil vinrent se posé sur Tôji...Il sourit de plus belle. Tôji n'avait pas utilisé ses pouvoirs cette fois ci, mais c'était naturelle. Tôji était si puissant et les animaux si sensible qu'il pouvait ressentir son amour à travers le corps de l'Ultime. Il se leva finalement, et s'approcha de Ai. L'animal eu d'abord un mouvement de recule, surprise, et finalement se laissa approché. Tôji la carressa doucement, pendant quelques secondes, et se recula. Il n'avait jamais ressentit cela, et c'était idiot de sa part, mais il n'osé pas trop approché la louve. Sachant qu'elle était précieuse pour Shinjô, il avait peur qu'il lui fasse du mal involontairement. Bien sûr, il ne le ferait pas volontairement et Tôji savait parfaitement se contrôlé. Mais juste au cas où...depuis tout petit, il se méfiait de lui même, de sa puissance. " Un être aussi puissant ne peux existé.." c'était les paroles de son père, et son père disait toujours la vérité. Et peut être que sa puissance continuera de s'accroître, pour finalement un jour explosé et détruire le monde..

- Je te remercie du fond du coeur, Shinjô. Sache que je serais à la hauteur de ma tâche, et quelque soit les ennemies qui s'opposent à moi, je saurais réagir intelligement pour éviter ce que je redoute le plus...Je ferais cela rien que pour te garder en vie, mon fils. Et elle, qui vie à travers le corps de cette animal.

Il s'accroupit devant la louve et dit d'un ton solennel.

- Je jure sur mon honneur de vous protegez, toi, Shinjô, et notre race.

Il se releva, et son expression changea soudainement. Il était redevenue le Directeur, l'Ultime, le craint et respecté. Et il esquissa son fameux sourire diabolique. Bien sûr, tout cela ne signifait pas qu'il venait d'oublié tout ce qui c'était passé. Non, juste pour se préparer à affronté la vie de tout les jours. Et pour ne donner à personne d'autre que Shinjô l'impréssion que le Directeur peut être parfois doux et gentil. Sur ce, il grimpa dans un arbre à vitesse folle, prit un écureuil dans une main, bu son sang et explosa la bête en poussière doré contre un autre arbre. Et s'envola, d'arbre en arbre...

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